L’ouvrier qui ne travaille pas vingt-cinq heures par jour n’a que faire d’entrer chez moi.
L’ouvrier qui ne travaille pas vingt-cinq heures par jour n’a que faire d’entrer chez moi. Auguste Villiers de L’Isle-Adam
- Les roses envolées – Sur les vagues, au loin, s’en sont toutes allées… – Respires-en sur moi l’odorant souvenir.
- Mais un soir d’automne, ; comme l’air dormait immobile et bas dans le ciel, ; ma bien-aimée m’appela vers elle. Un voile de brume pesait sur la terre et à voir les splendeurs d’octobre dans le feuillage de la forêt et le chaud embrasement du soir sur les eaux, on eût dit qu’un bel arc-en-ciel s’était laissé choir du firmament. « Voici le jour des jours ! dit-elle, quand je m’approchai : le plus beau des jours pour vivre et pour mourir ! C’est un beau jour, pour les fils de la terre et de la vie !… Ah ! plus beau, ; plus beau encore, ; pour les filles du Ciel et de la Mort !.
Une pensée sur “L’ouvrier qui ne travaille pas vingt-cinq heures par jour n’a que faire d’entrer chez moi.”
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Ça se passe sur la planète Duro ?
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