Et ne vaut-il pas mieux quelque orage endurer, – Que d’avoir toujours peur de la mer importune ? – Par la bonne fortune on se trouve abusé, – Par la fortune adverse on devient plus rusé.
Et ne vaut-il pas mieux quelque orage endurer, – Que d’avoir toujours peur de la mer importune ? – Par la bonne fortune on se trouve abusé, – Par la fortune adverse on devient plus rusé. Joachim Du Bellay