C’est un trou de verdure où chante une rivière – Accrochant follement aux herbes des haillons – D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, – Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.
C’est un trou de verdure où chante une rivière – Accrochant follement aux herbes des haillons – D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, – Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Arthur Rimbaud