Il ya l’ami dont le pouvoir d’amitié s’éprouve en vous crachant à la gueule (« Si tu es mon ami, tu dois me prendre comme je suis »). Il y a l’ami qui ne se donne pas la peine d’avoir de l’amitié, puisqu’il est votre ami (« Entre vrais amis, ce n’est pas la peine de faire du théâtre ? »).
Il ya l’ami dont le pouvoir d’amitié s’éprouve en vous crachant à la gueule (« Si tu es mon ami, tu dois me prendre comme je suis »). Il y a l’ami qui ne se donne pas la peine d’avoir de l’amitié, puisqu’il est votre ami (« Entre vrais amis, ce n’est pas la peine de faire du théâtre ? »). Claude Roy