La mort annoncée de l’humanité, qui oblige à réfléchir, devrait favoriser le retour de la religion et de la philosophie, les oubliées ou les méprisées de nos sociétés de consommation, elles-mêmes préfigurations de ce que seront les sociétés à bonheur artificiel.
La mort annoncée de l’humanité, qui oblige à réfléchir, devrait favoriser le retour de la religion et de la philosophie, les oubliées ou les méprisées de nos sociétés de consommation, elles-mêmes préfigurations de ce que seront les sociétés à bonheur artificiel. Jean Serise