Nous avons peu de goûts réels. Parfois, nous croyons aimer ce que nous détestons et nous souffrons de ce qui nous est bon ; la sensibilité inconsciente complique beaucoup les sentiments. Il y a d’étranges méprises dans le bonheur comme dans le malheur.
Nous avons peu de goûts réels. Parfois, nous croyons aimer ce que nous détestons et nous souffrons de ce qui nous est bon ; la sensibilité inconsciente complique beaucoup les sentiments. Il y a d’étranges méprises dans le bonheur comme dans le malheur. Jacques Chardonne