II n’y a d’éternellement neuf que l’éternellement vieux. Il n’y a d’inépuisable que les lieux communs. Il n’y a que deux choses qui intéressent : l’amour et la mort. Tout sujet qui sort de l’ordinaire de la vie ne mérite aucune attention.
II n’y a d’éternellement neuf que l’éternellement vieux. Il n’y a d’inépuisable que les lieux communs. Il n’y a que deux choses qui intéressent : l’amour et la mort. Tout sujet qui sort de l’ordinaire de la vie ne mérite aucune attention. Charles Ferdinand Ramuz