Songez que les blessures que vous portez à l’amour propre de vos frères ne se cicatrisent jamais, et que sans cesse elles distillent un poison dans lequel il trempe les traits qu’il vous lance à son tour.
Songez que les blessures que vous portez à l’amour propre de vos frères ne se cicatrisent jamais, et que sans cesse elles distillent un poison dans lequel il trempe les traits qu’il vous lance à son tour. Félix Bogaerts