Dans la plupart des cas, il n’y a pas eu d’erreur : la personne qu’on a aimée est telle qu’elle était apparue dès le début, à ceci près que nous souffrons plus tard des conséquences de cette façon d’être ; voilà ce que nous appelons notre erreur.
Dans la plupart des cas, il n’y a pas eu d’erreur : la personne qu’on a aimée est telle qu’elle était apparue dès le début, à ceci près que nous souffrons plus tard des conséquences de cette façon d’être ; voilà ce que nous appelons notre erreur. José Ortega y Gasset