Aucun plaisir n’est aussi grand que l’amour de l’aimée, aucune douleur n’est aussi intense que l’absence de l’aimée ; aucun ennui n’est aussi profond que la présence de celle que l’on a aimée et que l’on n’aime plus.
Aucun plaisir n’est aussi grand que l’amour de l’aimée, aucune douleur n’est aussi intense que l’absence de l’aimée ; aucun ennui n’est aussi profond que la présence de celle que l’on a aimée et que l’on n’aime plus. Théo Stern