Il faut laisser une trace de ce voyage que la mémoire oublie, il faut, lorsque c’est impossible, écrire, dessiner sans répondre aux invitations romanesques de la douleur, ne pas profiter de la souffrance comme d’une musique, se faire attacher le porte-plume au pied si nécessaire, aider les médecins que la paresse ne renseigne pas.
Il faut laisser une trace de ce voyage que la mémoire oublie, il faut, lorsque c’est impossible, écrire, dessiner sans répondre aux invitations romanesques de la douleur, ne pas profiter de la souffrance comme d’une musique, se faire attacher le porte-plume au pied si nécessaire, aider les médecins que la paresse ne renseigne pas. Cocteau