À quarante ans, on ne crie plus le mal, on le connaît et on lutte selon ce qu’on doit. On peut alors s’occuper de créer sans rien oublier.
À quarante ans, on ne crie plus le mal, on le connaît et on lutte selon ce qu’on doit. On peut alors s’occuper de créer sans rien oublier. Albert Camus