C’est effrayant comme on a de la peine quand on est en bonne santé à s’intéresser au malheur des autres !.
C’est effrayant comme on a de la peine quand on est en bonne santé à s’intéresser au malheur des autres !. Jules Renard
C’est effrayant comme on a de la peine quand on est en bonne santé à s’intéresser au malheur des autres !. Jules Renard