L’amour chez les vieillards a d’étranges racines, – Et trouve, comme un lierre aux fentes des ruines, – Dans ces cœurs ravagés par le temps et les maux, – Cent brèches où pousser ses tenaces rameaux.
L’amour chez les vieillards a d’étranges racines, – Et trouve, comme un lierre aux fentes des ruines, – Dans ces cœurs ravagés par le temps et les maux, – Cent brèches où pousser ses tenaces rameaux. Émile Augier