Bien que le voyage soit devenu un sport sans douleur, c’est encore aux livres que nous demandons de confronter une sensibilité à la nôtre et d’être nos compagnons sur les itinéraires suivis par d’illustres aînés.
Bien que le voyage soit devenu un sport sans douleur, c’est encore aux livres que nous demandons de confronter une sensibilité à la nôtre et d’être nos compagnons sur les itinéraires suivis par d’illustres aînés. Michel Déon