Collectivement, la mort n’existe pas. Plus il y en a, moins ça compte. Trop de morts, c’est comme l’ailleurs. C’est trop loin. Ça n’a pas de réalité. N’a de réalité que la mort individuelle.
Collectivement, la mort n’existe pas. Plus il y en a, moins ça compte. Trop de morts, c’est comme l’ailleurs. C’est trop loin. Ça n’a pas de réalité. N’a de réalité que la mort individuelle. Jean-Claude Izzo