D’ordinaire, la vie, en nous, ressemble au passage perpétuel d’une eau qui afflue et s’écoule. Les excitations que nous subissons proviennent de l’extérieur et s’écoulent à nouveau vers l’extérieur sous forme de paroles ou d’actions. Imaginez une sorte de mécanisme. Puis imaginez qu’il se détraque : il doit se produire alors un barrage, une accumulation d’eau. Ou quelque inondation. Ou, dans certaines circonstances, une simple crue.
D’ordinaire, la vie, en nous, ressemble au passage perpétuel d’une eau qui afflue et s’écoule. Les excitations que nous subissons proviennent de l’extérieur et s’écoulent à nouveau vers l’extérieur sous forme de paroles ou d’actions. Imaginez une sorte de mécanisme. Puis imaginez qu’il se détraque : il doit se produire alors un barrage, une accumulation d’eau. Ou quelque inondation. Ou, dans certaines circonstances, une simple crue. Robert Musil