Ni la mort ni le soleil ne se peuvent regarder en face – ni nous-même. Du moins pouvons-nous confronter les reflets de ce que nous fûmes, qui tremblent encore dans nos vieilles lectures, et l’être que nous sommes devenu. Oui, voilà bien le fil conducteur de ce voyage à travers mes premiers enchantements.
Ni la mort ni le soleil ne se peuvent regarder en face – ni nous-même. Du moins pouvons-nous confronter les reflets de ce que nous fûmes, qui tremblent encore dans nos vieilles lectures, et l’être que nous sommes devenu. Oui, voilà bien le fil conducteur de ce voyage à travers mes premiers enchantements. François Mauriac