L’avare se repaît de son or, le débauché se repaît de chair, l’orgueilleux se bouffit de vanité, mais l’ambitieux qui n’a pas réussi, de quoi se nourrit-il si ce n’est de lui-même ? Il se ronge, il se détruit lentement, rien ne peut apaiser sa soif de briller, de réussir. Il est prêt à se vendre ou à s’emparer de l’âme et du talent des autres pour se hisser jusqu’au succès. Pour qu’enfin on l’applaudisse.
L’avare se repaît de son or, le débauché se repaît de chair, l’orgueilleux se bouffit de vanité, mais l’ambitieux qui n’a pas réussi, de quoi se nourrit-il si ce n’est de lui-même ? Il se ronge, il se détruit lentement, rien ne peut apaiser sa soif de briller, de réussir. Il est prêt à se vendre ou à s’emparer de l’âme et du talent des autres pour se hisser jusqu’au succès. Pour qu’enfin on l’applaudisse. Katherine Pancol