Aucune raison cartésienne ne doit nous contraindre à aller vite. Il n’y a point de vite, du moins dans le sublime, et point de récompense ou de prévalence à composer avec cette promptitude pé- remptoire.
Aucune raison cartésienne ne doit nous contraindre à aller vite. Il n’y a point de vite, du moins dans le sublime, et point de récompense ou de prévalence à composer avec cette promptitude pé- remptoire. Alain Corbellari