La multiplication de nos semblables confine à l’immonde ; le devoir de les aimer, au saugrenu. Il n’empêche que toutes nos pensées sont contaminées par la présence de l’humain, qu’elles sentent l’humain, et qu’elles n’arrivent pas à s’en dégager.
La multiplication de nos semblables confine à l’immonde ; le devoir de les aimer, au saugrenu. Il n’empêche que toutes nos pensées sont contaminées par la présence de l’humain, qu’elles sentent l’humain, et qu’elles n’arrivent pas à s’en dégager. Émile M. Cioran