Il y a ici un appetit d’essentiel sans cesse entretenu par le spectacle d’une nature où l’homme apparait comme un humble accident, par la finesse et la lenteur d’une vie où la lenteur tue le mesquin.
Il y a ici un appetit d’essentiel sans cesse entretenu par le spectacle d’une nature où l’homme apparait comme un humble accident, par la finesse et la lenteur d’une vie où la lenteur tue le mesquin. Nicolas Bouvier