Je comprends l’Amérique, et aussi le peuple américain, dont Victor Hugo a dit, en son langage de dieu indigné : Peuple à peine ébauché, nation de hasard, Sans tige, sans passé, sans histoire et sans art !.
Je comprends l’Amérique, et aussi le peuple américain, dont Victor Hugo a dit, en son langage de dieu indigné : Peuple à peine ébauché, nation de hasard, Sans tige, sans passé, sans histoire et sans art !. Théodore de Banville