Le progrès m’est toujours apparu comme une faribole et c’est pour cela que je songe moins à changer l’état des choses présent qu’à l’endurer, ce qui me paraît le dernier mot de la sagesse, l’endurer et le comprendre.
Le progrès m’est toujours apparu comme une faribole et c’est pour cela que je songe moins à changer l’état des choses présent qu’à l’endurer, ce qui me paraît le dernier mot de la sagesse, l’endurer et le comprendre. Sartre