Oublier c’est tuer, se souvenir c’est recréer ; et l’art de la vie consiste à s’accorder avec ces changements, en sorte qu’une perte, tout en restant une perte, n’est pas un corps en décomposition enfoui dans la terre, ou attaché à l’être captif, mais un principe permanent qui inspire l’homme libéré.
Oublier c’est tuer, se souvenir c’est recréer ; et l’art de la vie consiste à s’accorder avec ces changements, en sorte qu’une perte, tout en restant une perte, n’est pas un corps en décomposition enfoui dans la terre, ou attaché à l’être captif, mais un principe permanent qui inspire l’homme libéré. Charles Morgan