Merci mon premier-né de me comprendre et de m’aimer en ma complexité, et toi dans tes doutes présents ou à venir, tu sais bien aussi qu’ici on t’aime même si on ne sait pas toujours très bien te le dire. Je t’embrasse très fort.
Merci mon premier-né de me comprendre et de m’aimer en ma complexité, et toi dans tes doutes présents ou à venir, tu sais bien aussi qu’ici on t’aime même si on ne sait pas toujours très bien te le dire. Je t’embrasse très fort. Patrick Poivre d’Arvor