Être propriétaire d’une parcelle de terrain, ne fût-elle grande que juste pour y déposer le berceau de son enfant ou pour y creuser la tombe de son père, c’est n’être plus un mercenaire que le caprice prend aujourd’hui, que la colère renvoie demain ; c’est n’être ni esclave, ni serf, ni vassal ; c’est être libre.
Être propriétaire d’une parcelle de terrain, ne fût-elle grande que juste pour y déposer le berceau de son enfant ou pour y creuser la tombe de son père, c’est n’être plus un mercenaire que le caprice prend aujourd’hui, que la colère renvoie demain ; c’est n’être ni esclave, ni serf, ni vassal ; c’est être libre. Alexandre Dumas