Il avait en effet coutume de soutenir que la mémoire de l’artiste ne réside pas dans sa main, mais dans son cœur et dans son âme, et déclarait même que c’est une fois devenu aveugle qu’il avait pu enfin contempler les vraies images de la nature.
Il avait en effet coutume de soutenir que la mémoire de l’artiste ne réside pas dans sa main, mais dans son cœur et dans son âme, et déclarait même que c’est une fois devenu aveugle qu’il avait pu enfin contempler les vraies images de la nature. Orhan Pamuk