Elle avait ce curieux visage au-delà de la beauté, ce visage que la mémoire brouille et bat comme des cartes, ce visage aperçu au travers d’une vitre embuée. Le temps est un vandale, qui l’estompera. La mort est bien la mort, qui l’anéantira.
Elle avait ce curieux visage au-delà de la beauté, ce visage que la mémoire brouille et bat comme des cartes, ce visage aperçu au travers d’une vitre embuée. Le temps est un vandale, qui l’estompera. La mort est bien la mort, qui l’anéantira. René Fallet