Dans une grande ville, pour peu qu’on regarde aux fenêtres, on se sent entraîné vers la poésie épique; dans un village, au contraire, on ne composera que des idylles ou des poésies lyriques.
Dans une grande ville, pour peu qu’on regarde aux fenêtres, on se sent entraîné vers la poésie épique; dans un village, au contraire, on ne composera que des idylles ou des poésies lyriques.
Jean-Paul