Car il ne sert de rien à l’homme qu’il vieillisse, – A chaque âge, il arrive ignorant et novice, – Sur nos derniers hivers et sur notre âge éteint, – La sagesse versant une lumière pâle, – Brille comme la lune aux doux rayons d’opale, – Aux heures de la nuit où l’on ne fait plus rien.
Car il ne sert de rien à l’homme qu’il vieillisse, – A chaque âge, il arrive ignorant et novice, – Sur nos derniers hivers et sur notre âge éteint, – La sagesse versant une lumière pâle, – Brille comme la lune aux doux rayons d’opale, – Aux heures de la nuit où l’on ne fait plus rien. Alphonse Karr