Les mourants ont les yeux secs; l’orage de la vie se termine par un vent froid. Ils ne savent pas combien leurs accents entrecoupés pénètrent profondément dans les blessures de nos cœurs.
Les mourants ont les yeux secs; l’orage de la vie se termine par un vent froid. Ils ne savent pas combien leurs accents entrecoupés pénètrent profondément dans les blessures de nos cœurs.
Jean-Paul