Le paradoxe est qu’étant l’un des bons auteurs, que l’on trouve à présent en France, le recul du français me remplit d’aise et son délabrement me met en joie, il me paraît qu’anticipant sur l’avenir, je passerai pour l’un des derniers mainteneurs du style et que mes morceaux feront l’ornement de leurs anthologies.
Le paradoxe est qu’étant l’un des bons auteurs, que l’on trouve à présent en France, le recul du français me remplit d’aise et son délabrement me met en joie, il me paraît qu’anticipant sur l’avenir, je passerai pour l’un des derniers mainteneurs du style et que mes morceaux feront l’ornement de leurs anthologies. Albert Caraco