La poésie nous métamorphose comme au jour du jugement, en nous glorifiant sans nous changer.
La poésie nous métamorphose comme au jour du jugement, en nous glorifiant sans nous changer.
Jean-Paul
- Rien, ne nous appartient ; seul le temps est à nous. Ce bien fugitif et glissant est l’unique possession que nous ait départie la nature ; et peut nous en chasser qui veut. Telle est la folie des humains qu’ils se sentent redevables du moindre cadeau peu coûteux qu’on leur fait, cadeau remplaçable en tout cas, mais que personne ne s’estime redevable du temps qu’il a reçu en partage, alors que le plus reconnaissant des hommes ne pourrait le rendre.
- Guy Kawasaki
4 pensées sur “La poésie nous métamorphose comme au jour du jugement, en nous glorifiant sans nous changer.”
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Elle change un auteur en lui-même.
Elle rend le lecteur à lui-même.
Un lien se crée.
Une boucle escherienne?