Ce n’est point la raison (c’est-à-dire la conscience) qui nous rend bons. Elle n’est que ce bras indicateur qui nous montre le chemin de la vertu, mais elle ne peut nous y porter et encore moins nous y contraindre. La raison a une puissance législative, mais non exécutive. La force d’exécuter ses ordres et la force plus grande nécessaire pour s’y soumettre est une seconde conscience. De même que Kant ne peuf exprimer avec sa plume ce qui rend l’homme mauvais, on ne . peut également dire ce qui soutient son cœur au milieu de la fange morale et l’élève audessus.
Ce n’est point la raison (c’est-à-dire la conscience) qui nous rend bons. Elle n’est que ce bras indicateur qui nous montre le chemin de la vertu, mais elle ne peut nous y porter et encore moins nous y contraindre. La raison a une puissance législative, mais non exécutive. La force d’exécuter ses ordres et la force plus grande nécessaire pour s’y soumettre est une seconde conscience. De même que Kant ne peuf exprimer avec sa plume ce qui rend l’homme mauvais, on ne . peut également dire ce qui soutient son cœur au milieu de la fange morale et l’élève audessus.
Jean-Paul