Il avait appris, dans le premier livre de Zoroastre, que l’amour-propre est un ballon gonflé de vent. dont il sort des tempêtes quand on lui a fait une piqûre.
Il avait appris, dans le premier livre de Zoroastre, que l’amour-propre est un ballon gonflé de vent. dont il sort des tempêtes quand on lui a fait une piqûre. Voltaire