Les vents des deux mers et des deux continents sont si rudes qu’ils font tourbillonner les pensées comme feuilles mortes dans le patio. Et les mots se bousculent en bruissant, autres feuilles mortes secouées par le vent.
Les vents des deux mers et des deux continents sont si rudes qu’ils font tourbillonner les pensées comme feuilles mortes dans le patio. Et les mots se bousculent en bruissant, autres feuilles mortes secouées par le vent. Jean-François Deniau