C’est àl a Nouvelle-Orléans qu’il faut venir, disais-je souvent à Manon, quand on veut goûter les vraies douceurs de l’amour. C’est ici qu’on s’aime sans intérêt, sans jalousie, sans inconstance.
C’est àl a Nouvelle-Orléans qu’il faut venir, disais-je souvent à Manon, quand on veut goûter les vraies douceurs de l’amour. C’est ici qu’on s’aime sans intérêt, sans jalousie, sans inconstance. Antoine-François Prévost