C’est un triste spectacle que celui de ces femmes flétries qui cachent leurs rides sous des fleurs et couronnent leurs fronts hâves de diamants et de plumes. Chez elles tout est faux : la taille, le teint, les cheveux, le sourire ; tout est triste : la parure, le fard, la gaieté.
C’est un triste spectacle que celui de ces femmes flétries qui cachent leurs rides sous des fleurs et couronnent leurs fronts hâves de diamants et de plumes. Chez elles tout est faux : la taille, le teint, les cheveux, le sourire ; tout est triste : la parure, le fard, la gaieté. George Sand