On devrait pouvoir aimer tout d’une personne, l’oesophage, et le foie, et les intestins. Peut-être qu’on ne les aime pas par manque d’habitude, si on les voyait comme ils voient nos mains et nos bras peut-être qu’on les aimerait.
On devrait pouvoir aimer tout d’une personne, l’oesophage, et le foie, et les intestins. Peut-être qu’on ne les aime pas par manque d’habitude, si on les voyait comme ils voient nos mains et nos bras peut-être qu’on les aimerait. Sartre