On ne laisse plus aux idées le temps d’aller au bout de leur croissance, de leur efflorescence. Nous nous faisons illusion par quelques-unes que nous disposons, telles des fleurs coupées, dans un vase sur la table du salon.
On ne laisse plus aux idées le temps d’aller au bout de leur croissance, de leur efflorescence. Nous nous faisons illusion par quelques-unes que nous disposons, telles des fleurs coupées, dans un vase sur la table du salon. Hubert Nyssen