Dans les romans comme dans le monde nous n’aimons pas les caractères tout-à-fait parfaits. Les hommes complètement pervers déplaisent également aux lecteurs et à ceux qui leur ressemblent : il nous faut seulement des hommes à moitié ou aux trois quarts corrompus, tels enfin qu’on les rencontre dans la haute société.
Dans les romans comme dans le monde nous n’aimons pas les caractères tout-à-fait parfaits. Les hommes complètement pervers déplaisent également aux lecteurs et à ceux qui leur ressemblent : il nous faut seulement des hommes à moitié ou aux trois quarts corrompus, tels enfin qu’on les rencontre dans la haute société.
Jean-Paul