Tokyo fonctionne à deux vitesses. D’un côté, les artères immenses, les ponts de béton, les marées humaines. De l’autre, les quartiers minuscules, les ruelles obscures flanquées de façades aveugles et de bannières flottantes.
Tokyo fonctionne à deux vitesses. D’un côté, les artères immenses, les ponts de béton, les marées humaines. De l’autre, les quartiers minuscules, les ruelles obscures flanquées de façades aveugles et de bannières flottantes. Jean-Christophe Grangé