Ce que j’aimais, ce n’était ni le travail, – Ni ce soin de notre avoir, qui fournit à l’entretien de beaux enfants ; – J’aimais de tout temps les navires s’élançant sous l’effort des rames, – Et la guerre, et les javelots au bois poli, et les flèches ;.
Ce que j’aimais, ce n’était ni le travail, – Ni ce soin de notre avoir, qui fournit à l’entretien de beaux enfants ; – J’aimais de tout temps les navires s’élançant sous l’effort des rames, – Et la guerre, et les javelots au bois poli, et les flèches ;. Homère