Si les écrivains sont des êtres fragiles, c’est parce qu’ils peuvent connaître deux sortes de peines sentimentales, soit deux fois plus que les êtres humains normaux : les chagrins d’amour et les chagrins de livre. Ecrire un livre, c’est comme aimer quelqu’un : ça peut devenir très douloureux.
Si les écrivains sont des êtres fragiles, c’est parce qu’ils peuvent connaître deux sortes de peines sentimentales, soit deux fois plus que les êtres humains normaux : les chagrins d’amour et les chagrins de livre. Ecrire un livre, c’est comme aimer quelqu’un : ça peut devenir très douloureux. Joël Dicker