Être bon est plus humain qu’être juste. La suprême bonté doit embrasser non seulement la faiblesse de l’esprit ou du cœur, mais leur résistance ; patienter avec la sottise comme avec le vice, avec l’amour-propre comme avec le péché.
Être bon est plus humain qu’être juste. La suprême bonté doit embrasser non seulement la faiblesse de l’esprit ou du cœur, mais leur résistance ; patienter avec la sottise comme avec le vice, avec l’amour-propre comme avec le péché. Henri Frédéric Amiel