Celui qui pour donner ne s’est point imposé de privations, n’a fait qu’effleurer les joies de la charité. Nous devons notre superflu, et le bonheur dans le devoir, c’est d’en dépasser les limites.
Celui qui pour donner ne s’est point imposé de privations, n’a fait qu’effleurer les joies de la charité. Nous devons notre superflu, et le bonheur dans le devoir, c’est d’en dépasser les limites. Sophie Swetchine