Il ne faut pas s’imaginer qu’un cœur se remplace comme une porte. Lorsqu’on a le cœur à nu, c’est plus facile de rentrer sans y être invité, pour lui faire du mal. Si l’on ne se protège pas, n’importe qui peut s’en emparer, le briser, alors que ses plaies ne sont pas encore refermées.
Il ne faut pas s’imaginer qu’un cœur se remplace comme une porte. Lorsqu’on a le cœur à nu, c’est plus facile de rentrer sans y être invité, pour lui faire du mal. Si l’on ne se protège pas, n’importe qui peut s’en emparer, le briser, alors que ses plaies ne sont pas encore refermées. Lydia Perréal