Au quotidien, c’est seulement à Auschwitz qu’il était possible de vivre et de mourir en même temps, et chaque déporté a irréversiblement éprouvé ce mélange contradictoire et confus de pulsions vitales et mortelles que les “libérés” n’ont jamais réussi à oublier.
Au quotidien, c’est seulement à Auschwitz qu’il était possible de vivre et de mourir en même temps, et chaque déporté a irréversiblement éprouvé ce mélange contradictoire et confus de pulsions vitales et mortelles que les “libérés” n’ont jamais réussi à oublier. Joseph Bialot