J’aime tous ceux qui sont comme de lourdes gouttes tombant, une à une, du nuage sombre suspendu au-dessus des humains : ils annoncent la venue de la foudre et périssent, annonciateurs.
J’aime tous ceux qui sont comme de lourdes gouttes tombant, une à une, du nuage sombre suspendu au-dessus des humains : ils annoncent la venue de la foudre et périssent, annonciateurs. Nietzsche